SELON GARY HAMEL… « Les entreprises meurent quand elles méritent de mourir, c’est-à-dire quand elles se sont montrées généralement inaptes à satisfaire les demandes de leurs clients, de leur personnel, de leurs créanciers et de leurs investisseurs. »

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Matière à réflexion

29 juillet 2013

par Christian Latour

Selon Gary Hamel… Cette tautologie un peu brutale cache cependant une idée plus subtile : les entreprises ne meurent pas de « mort naturelle ». Quand les entreprises meurent, c’est habituellement la conséquence de décisions qu’elles ont prises ou refusées de prendre, devenant du même coup incapable d’affronter l’avenir.

— Source : Gary Hamel, La nouvelle donne – les 5 défis prioritaires des entreprises pour réussir dans un univers plus hostile que jamais, Les Éditions Transcontinental, Montréal, 2013. (voir page 159)

CE QU’IL NE FAUT JAMAIS OUBLIÉ

En tant que restaurateur, notre droit d’exister est un privilège renouvelable, mais non immuable. Il est directement relié à notre capacité de réaliser des bénéfices, ces derniers constituant, dans notre système économique, une preuve à la fois de notre compétence, de notre utilité, de notre légitimité (droit d’exister). Une entreprise qui après un certain temps, s’avère incapable de produire des bénéfices est une entreprise inutile.

Manuel de (gestion / réflexion) du restaurateur presque parfait… la lettre E

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