Psychosomatisme inversé

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J’ai toujours été fasciné par l’expression : « poids de forme ». Ce n’est scientifiquement pas un mythe. Mais c’est pourtant un mirage pour des millions de personnes. Celles qui structurellement au-dessus de ce poids, en surpoids voire en obésité.

Peut-on espérer atteindre ce seuil mathématique qui dans le mot qui le désigne laisse entrevoir tellement de choses positives. Et la première que je retiendrais pour mon propos est que ce qu’on appelle la forme est une dimension de bien-être psychologique.

Le guilleret citoyen qui se sent « en forme » dira qu’il se sent « bien » ( même super bien), « léger », « zen »…. Il y a un effet direct de la vitalité physique, de l’équilibre physiologique sur le ressenti et l’aperception du monde et de soi.
On nous a habitué à parler de l’inverse. Les conséquences de l’état du psychisme sur le corps avec au plus fort de la relation cette vieille théorie du psychosomatisme. Elle prend du volume conceptuel quand la psychanalyse nous explique qu’un conflit inconscient non réglé peut se traduire ( et se trahir) par l’apparition d’une maladie ( zona, asthme…) : c’est la somatisation.

On a tout intérêt à ne pas négliger nos « bonnes » mensurations pour se sentir à l’aise. Et d’aller jusqu’au bout de la démarche comme cette petite jeune femme de Mulhouse qui aura fait son baptême de l’air l’occasion d’un voyage destiné à subir une liposuccion dans une clinique de Tunisie sans même en parler à ses proches.

Comment faire ? On est pas obligé d’attendre la solution des hôpitaux comme cette jeune femme. Des outils comme l’IMC ( Indice de masse corporelle) sont des solutions simples pour connaitre sa situation et s’orienter vers le régime et le traitement adéquat.

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