JOUEZ-VOUS AU HOCKEY ?

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Connaissez-vous la différence entre jouer au hockey pour la ligue nationale et jouer dans une ligue de «garage» à l’aréna une à deux fois par semaine, à l’extérieur? Plusieurs ont pensé tout de suite au salaire… du point de vue d’un professionnel de la santé, c’est autre chose!

 

Le joueur de la ligne nationale se doit d’être physiquement prêt, en plus d’avoir toute son attention, le focus, comme disaient Les Boys : le « mental ». Tandis que pour les autres, c’est plutôt un divertissement.

 

Vous conviendrez qu’on est moins porté à faire attention aux détails lorsqu’on aborde ce sport pour le plaisir seulement. C’est pour cette raison que l’on voit arriver à la clinique des gens «barrés», souffrant de dorsalgie ou de sciatalgie, voire même d’entorses cervicales.

 

On fait la promotion de la bonne alimentation, l’importance de faire de l’exercice, le repos, prendre soin de son système nerveux par des ajustements et ce sont tous des points à ne pas négliger. Mais je crois qu’il est nécessaire aussi d’ajouter un ingrédient qui rehausse le tout : être conscient du pourquoi on effectue ceci ou cela. Prendre conscience.

 

Que l’on soit dans la ligue nationale, dans la ligue de garage ou tout simplement dehors pour jouer au hockey, on doit être conscient que notre corps a ses limites et ses raideurs. Vous venez de terminer votre quart de travail et hop! à l’aréna pour 60 à 90 minutes de mouvements rapides et brusques. C’est samedi, il fait froid et on s’habille pour aller sur la patinoire sans échauffement. Après on se demande pourquoi ce «simple» sport peut avoir une incidence à un tour de rein?

 

La prévention peut représenter des soins pour certains et pour d’autres, c’est d’être conscient du moment présent, comme par exemple : «je décide de jouer au hockey, alors je m’étire et fais quelques tous de patinoire pour me réchauffer» avant d’en profiter pleinement.

 

 

 

 

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