Christophe Mazurier : banquier philanthrope

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A la tête de la célèbre et très discrète banque Pasche de Genève, Christophe Mazurier n’en est pas moins l’un des philanthropes les plus en vue… Retour sur le parcours d’un ambitieux sachant mêler succès professionnels et passions.

Depuis plusieurs années, Christophe Mazurier s’est taillé un nom dans le monde si fermé des banques privées suisses… mais pas seulement. Non content de diriger l’une des plus vieilles institutions financières de l’arc lémanique (la banque Pasche a été fondée en 1885), il mêle à ses activités professionnelles un engagement philanthropique de tous les instants en faveur de la musique classique et contre le réchauffement climatique.

Mécénat culturel. Un sujet sur lequel il s’est récemment exprimé dans une tribune au HuffingtonPost appelant les entrepreneurs à investir dans la culture. Et Christophe Mazurier de joindre les actes aux paroles en soutenant depuis plus d’une décennie le Centre vénitien pour la musique baroque, un organisme unique au monde qui a replacé la cité des Doges au cœur du monde baroque.

Christophe Mazurier s’investit également pour promouvoir la diffusion des œuvres de ses compositeurs favoris et notamment son ami le pianiste français Michel Dalberto, qu’il accompagne depuis de nombreuses années.

A côté de cet activisme culturel, le banquier d’affaires, résident bahamien, a choisi de s’impliquer, aux côtés du gouvernement du Bahamas, pour lutter contre les effets dévastateurs du réchauffement climatique sur l’archipel caribéen.

Une menace qui semble lointaine vue de l’Occident mais qui menace directement à l’horizon 2050 les habitants des Bahamas qui, à l’image d’autres micro-nations notamment du Pacifique, pourraient devenir les premiers réfugiés climatiques du XXIe siècle.

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